Le blog de Chris
Sam 28 sep 2013
3 commentaires
Pas mal comme plan
fredpieds75 - le 02/10/2013 à 16h39
Super,je veux bien me joindre à eux!!!
kinoute - le 03/10/2013 à 06h33
Nabil, le caïd du quartier
Je m’appelle Adil, j’ai 30 ans et je suis dans le pétrin. J’ai une addiction aux jeux et je dois de l’argent. Beaucoup d’argent ! Plus de 4000 euros. Pour éponger ma dette, j’ai demandé à Nabil de me les prêter. Il a accepté à condition que je les lui rende dans les trois mois avec une petite prime de 500 euros.
Malheureusement, une fois ce délai passé, je n’ai toujours pas pu trouver cette somme car je suis au chômage. Je vis dans la crainte de Nabil car ce n’est pas un tendre ! Loin de là. Nabil est le grand caïd du quartier. Tout le monde l’appelle « le maire » car il fait ce qu’il veut dans la cité et tout le monde le craint.
Je n’en ai pas encore parlé à Nawal, ma femme. Je suis marié avec elle depuis 5 ans et nous avons un petit garçon de 3 ans. On ne peut pas dire que je suis le mari parfait et notre quotidien est assez difficile. Nous ne menons pas la vie que je lui avais promise. Nawal est une magnifique maghrébine de 27 ans, grande, mince, la peau mate, de superbes fesses et une belle poitrine bien ferme (du 90 c). Elle a de beaux yeux en amande et une bouche pulpeuse. C’est vrai que je ne la mérite pas et normalement je n’aurai eu aucune chance avec elle, mais pour mon bonheur, ce sont nos parents qui ont arrangé le mariage. Et je ne m’en plains pas du tout.
Je sais qu’elle attire le regard de tous les hommes mais je suis vigilent ! Personne ne la touche et ne la touchera jamais. C’est ma femme et elle me sera fidèle.
Quand je l’ai épousée, elle était vierge et lors de notre nuit de noce, j’avais tellement envie de la prendre que je l’avais prise sans ménagement. Elle a un corps si parfait que les mois qui ont précédé notre mariage, je la prenais plusieurs fois par jour même si je sais qu’elle n’avait pas trop envie de moi. Généralement quand je la baise, je jouis très rapidement. Pour être franc je ne me suis jamais soucié de savoir si elle prenait du plaisir avec moi comme elle ne se refusait jamais à moi, j’imaginais qu’il n’y avait pas de souci. Mais au fil du temps je la baisais de moins en moins car les soucis prenaient le pas sur ma libido.
Pour être franc, nous n’avons aucune complicité et nous vivons un peu comme deux étrangers dans le même appart. Tant qu’elle me fait à manger et qu’elle s’occupe de la maison, moi ça me va !
Je suis assis dans mon salon et je regarde la télé. Je songe à la manière de régler ma dette à Nabil. Ma femme fait du repassage. Elle est belle. Elle revient des courses et elle m’excite car elle porte le jean qui me fait bander : un jean Lévis noir qui lui moule son magnifique cul. Je sais qu’elle porte un string et, malgré que je sois jaloux, l’idée de savoir que les hommes bandent sur elle et que je suis le seul à me la faire me plaît ! Elle porte aussi un t-shirt col roulé extrêmement serré qui lui fait ressortir son imposante poitrine. J’ai vraiment envie de la prendre tout de suite mais en ce moment, elle est un peu distante. Sans doute à cause de nos déboires financiers.
On sonne à la porte. Je me lève pour aller voir.
Merde ! C’est Nabil accompagné d’un des ses sbires, Ousmane un gigantesque zaïrois.
Nabil me dit : « Alors connard, tu as mon pognon ? »
- « Non pas encore, il faut que tu me laisses un petit délai, j’ai toujours pas de boulot et puis j’ai un enfant, tu vois… »
- « Ta gueule ! » Me dit-il avant de continuer : « J’aime pas que l’on se foute de ma gueule. » Il me prend par la gorge et me colle contre le mur du couloir. Ousmane ferme la porte de l’appart pour ne pas alerter les voisins.
Au même moment, alerté par le bruit, Nawal nous rejoint dans le couloir. Elle est surprise de me voir tenu comme une merde par Nabil.
Elle dit d’une voix tremblante : « Que faites-vous à mon mari ? »
Les deux lascars sont surpris de la voir là et à la façon dont ils la regardent, je sens qu’ils sont excités.
Nabil lui répond : « Tu vois, ta tapette de mari me doit un sacré paquet de fric et comme il ne veut pas me le rendre, je vais lui montrer que je ne suis pas un bouffon ! » Pendant qu’il parle, il reluque ma femme et, comme il est collé contre moi, je sens un début d’érection dans son jean. Le salaud ! Je prie pour que les choses ne débordent pas mais je ne sais pas quoi faire.
Ma femme s’approche de nous et d’une voix coquine dit : « Entre grandes personnes, on peut s’arranger ? Non ?
Je n’y crois pas mes yeux ! Ma femme qui est timide et réservée fait la salope devant le type qui veut ma peau.
Nabil est aussi surpris que moi et il lâche :
-" Qu’est ce que tu proposes ma belle ? C’est que ton mari me doit 4500 euros !"
Ma femme se rapproche de Nabil. Il transpire et regarde fixement la poitrine de Nawal. Celle-ci se colle au caïd et lui murmure : « Je peux te rembourser cet argent. Je suis sure que je vaux bien plus que cette somme. Je ferai tout ce que tu veux, même tes petites chiennes du quartier ne te feront pas jouir comme je vais te faire jouir. »
Puis elle passe sa langue sur ses lèvres !
Je regarde médusé la scène qui se joue devant moi ! Nabil agrippe les belles fesses de ma femme et lui dit : « tu dois l’aimer ton mari pour te sacrifier pour lui ? »
- « Tu parles, c’est une merde, je fais ça pour mon enfant car c’est son père »
Nabil et Ousmane se marrent en me regardant. Nabil prend par la main ma femme et l’emmène dans le salon tout en me lançant « Je vais bien baiser ta chienne et après, j’effacerai ta dette, tapette ! »
Et à l’intention de Nawal : « Pétasse, je veux que ton mari me voie en train de te défoncer ! »
Nawal se retourne vers moi et lui répond : « Il n’y a pas de souci, comme cela il verra à quoi ressemble un vrai homme. »
A ces mots, Ousmane m’agrippe par le col et me conduit jusqu’au salon. Je n’ai même pas la force de résister ou de dire quoi que ce soit, tellement je suis sous le choc de la conduite de mon épouse ! Quelle salope !
Dans le salon, Nabil a bloqué ma femme contre le mur et s’est mis à l’embrasser fougueusement tout en lui massant sa poitrine.
"Oh putain Ousmane, cette pute elle a des seins plus gros qu’une actrice de cul ! Je vais la démonter cette chiennasse !"
Puis en s’adressant à Nawal : " Vas-y, j’en peux plus ma belle, on va passer aux choses sérieuses."
Nabil a défait sa braguette et sort son sexe en érection. Nawal s’agenouille et commence à le lui lécher avec sa langue. Soudain, elle se met à cracher sur la moquette et dit :
- " Pouah, elle sent mauvais…"
Nabil lui agrippe les cheveux et lui met violemment son zob dans la bouche.
-" Ta gueule et suce, pétasse !"
Ce n’est pas seulement Nawal qui le suce mais Nabil qui lui met de véritables coups de bite dans la gorge. Je regarde ma femme se faire baiser la bouche par ce salaud et je suis consterné de voir ma chérie prendre du plaisir car elle se frotte la main par-dessus son jean entre ses cuisses.
Nabil râle de plaisir :
- " Oh putain, elle est bonne cette chienne ! Oh putain, je vais la défoncer ta femme !"
Nawal arrête sa fellation et lève son regard vers ce salopard. « Tu ne veux pas me prendre le cul ? J’en veux et je ne me suis jamais fait enculer. »
La garce ! Elle n’a jamais voulu que je la sodomise et pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayé. Elle a un cul magnifique, Nabil ne se fait pas prier, il lui ordonne d’enlever son jean et de se mettre à quatre pattes. Elle s’exécute. Elle descend son pantalon tout doucement afin de faire monter l’excitation du lascar. Une fois son jean retiré, ma femme se retrouve en string. Elle est terriblement bandante.
Nawal est à quatre pattes sur la moquette, le cul cambré offert à ce salaud de Nabil. Celui-ci, excité comme un bouc, se place derrière ma femme en se tenant son zob et, brutalement, l’enfonce dans l’anus encore vierge de Nawal qui pousse un cri à la fois de plaisir et de douleur !
Nabil prend son pied et s’écrie tout en gémissant comme un porc : " oh, comment elle mouille ta chienne de femme, elle est serrée du cul et elle mouille cette salope. "
Puis en s’adressant à elle : " Tu aimes te faire enfiler, pétasse ? Et si on te prenait à deux petite pute ? "
Nawal gémit de plus en plus fort. Il ne fait aucun doute qu’elle aime se faire brutaliser !
« Oh oui, défoncez-moi tous les deux ! Prenez-moi ! Faites-vous plaisir et videz vos grosses couilles dans mon cul !
Ousmane ne fait pas prier. Il se lève, défait son pantalon et sort un énorme sexe de 25 cm. Il se place devant ma femme et lui ordonne de la mettre dans sa bouche. Nawal s’exécute et le grand black lui tire sa magnifique chevelure sans aucun ménagement.
Je regarde avec de grands yeux la scène qui se passe devant moi. Pendant plus de cinq minutes, deux crapules baisent le cul et la bouche de ma femme et cette dernière prend son pied, en témoigne ses gémissements !
Nabil accélère sa sodomie, il met des coups de plus en plus violents et saccadés et, à son visage, je vois qu’il éjacule dans le cul de ma femme.
" Oh putain, c’est bon ! Je lui ai rempli son petit cul." Et en s’adressant à moi : " Tu peux passer derrière moi si tu veux maintenant. "
Au même moment, on sonne à la porte. Nabil qui remet son pantalon m’ordonne d’aller voir à l
Je m’appelle Adil, j’ai 30 ans et je suis dans le pétrin. J’ai une addiction aux jeux et je dois de l’argent. Beaucoup d’argent ! Plus de 4000 euros. Pour éponger ma dette, j’ai demandé à Nabil de me les prêter. Il a accepté à condition que je les lui rende dans les trois mois avec une petite prime de 500 euros.
Malheureusement, une fois ce délai passé, je n’ai toujours pas pu trouver cette somme car je suis au chômage. Je vis dans la crainte de Nabil car ce n’est pas un tendre ! Loin de là. Nabil est le grand caïd du quartier. Tout le monde l’appelle « le maire » car il fait ce qu’il veut dans la cité et tout le monde le craint.
Je n’en ai pas encore parlé à Nawal, ma femme. Je suis marié avec elle depuis 5 ans et nous avons un petit garçon de 3 ans. On ne peut pas dire que je suis le mari parfait et notre quotidien est assez difficile. Nous ne menons pas la vie que je lui avais promise. Nawal est une magnifique maghrébine de 27 ans, grande, mince, la peau mate, de superbes fesses et une belle poitrine bien ferme (du 90 c). Elle a de beaux yeux en amande et une bouche pulpeuse. C’est vrai que je ne la mérite pas et normalement je n’aurai eu aucune chance avec elle, mais pour mon bonheur, ce sont nos parents qui ont arrangé le mariage. Et je ne m’en plains pas du tout.
Je sais qu’elle attire le regard de tous les hommes mais je suis vigilent ! Personne ne la touche et ne la touchera jamais. C’est ma femme et elle me sera fidèle.
Quand je l’ai épousée, elle était vierge et lors de notre nuit de noce, j’avais tellement envie de la prendre que je l’avais prise sans ménagement. Elle a un corps si parfait que les mois qui ont précédé notre mariage, je la prenais plusieurs fois par jour même si je sais qu’elle n’avait pas trop envie de moi. Généralement quand je la baise, je jouis très rapidement. Pour être franc je ne me suis jamais soucié de savoir si elle prenait du plaisir avec moi comme elle ne se refusait jamais à moi, j’imaginais qu’il n’y avait pas de souci. Mais au fil du temps je la baisais de moins en moins car les soucis prenaient le pas sur ma libido.
Pour être franc, nous n’avons aucune complicité et nous vivons un peu comme deux étrangers dans le même appart. Tant qu’elle me fait à manger et qu’elle s’occupe de la maison, moi ça me va !
Je suis assis dans mon salon et je regarde la télé. Je songe à la manière de régler ma dette à Nabil. Ma femme fait du repassage. Elle est belle. Elle revient des courses et elle m’excite car elle porte le jean qui me fait bander : un jean Lévis noir qui lui moule son magnifique cul. Je sais qu’elle porte un string et, malgré que je sois jaloux, l’idée de savoir que les hommes bandent sur elle et que je suis le seul à me la faire me plaît ! Elle porte aussi un t-shirt col roulé extrêmement serré qui lui fait ressortir son imposante poitrine. J’ai vraiment envie de la prendre tout de suite mais en ce moment, elle est un peu distante. Sans doute à cause de nos déboires financiers.
On sonne à la porte. Je me lève pour aller voir.
Merde ! C’est Nabil accompagné d’un des ses sbires, Ousmane un gigantesque zaïrois.
Nabil me dit : « Alors connard, tu as mon pognon ? »
- « Non pas encore, il faut que tu me laisses un petit délai, j’ai toujours pas de boulot et puis j’ai un enfant, tu vois… »
- « Ta gueule ! » Me dit-il avant de continuer : « J’aime pas que l’on se foute de ma gueule. » Il me prend par la gorge et me colle contre le mur du couloir. Ousmane ferme la porte de l’appart pour ne pas alerter les voisins.
Au même moment, alerté par le bruit, Nawal nous rejoint dans le couloir. Elle est surprise de me voir tenu comme une merde par Nabil.
Elle dit d’une voix tremblante : « Que faites-vous à mon mari ? »
Les deux lascars sont surpris de la voir là et à la façon dont ils la regardent, je sens qu’ils sont excités.
Nabil lui répond : « Tu vois, ta tapette de mari me doit un sacré paquet de fric et comme il ne veut pas me le rendre, je vais lui montrer que je ne suis pas un bouffon ! » Pendant qu’il parle, il reluque ma femme et, comme il est collé contre moi, je sens un début d’érection dans son jean. Le salaud ! Je prie pour que les choses ne débordent pas mais je ne sais pas quoi faire.
Ma femme s’approche de nous et d’une voix coquine dit : « Entre grandes personnes, on peut s’arranger ? Non ?
Je n’y crois pas mes yeux ! Ma femme qui est timide et réservée fait la salope devant le type qui veut ma peau.
Nabil est aussi surpris que moi et il lâche :
-" Qu’est ce que tu proposes ma belle ? C’est que ton mari me doit 4500 euros !"
Ma femme se rapproche de Nabil. Il transpire et regarde fixement la poitrine de Nawal. Celle-ci se colle au caïd et lui murmure : « Je peux te rembourser cet argent. Je suis sure que je vaux bien plus que cette somme. Je ferai tout ce que tu veux, même tes petites chiennes du quartier ne te feront pas jouir comme je vais te faire jouir. »
Puis elle passe sa langue sur ses lèvres !
Je regarde médusé la scène qui se joue devant moi ! Nabil agrippe les belles fesses de ma femme et lui dit : « tu dois l’aimer ton mari pour te sacrifier pour lui ? »
- « Tu parles, c’est une merde, je fais ça pour mon enfant car c’est son père »
Nabil et Ousmane se marrent en me regardant. Nabil prend par la main ma femme et l’emmène dans le salon tout en me lançant « Je vais bien baiser ta chienne et après, j’effacerai ta dette, tapette ! »
Et à l’intention de Nawal : « Pétasse, je veux que ton mari me voie en train de te défoncer ! »
Nawal se retourne vers moi et lui répond : « Il n’y a pas de souci, comme cela il verra à quoi ressemble un vrai homme. »
A ces mots, Ousmane m’agrippe par le col et me conduit jusqu’au salon. Je n’ai même pas la force de résister ou de dire quoi que ce soit, tellement je suis sous le choc de la conduite de mon épouse ! Quelle salope !
Dans le salon, Nabil a bloqué ma femme contre le mur et s’est mis à l’embrasser fougueusement tout en lui massant sa poitrine.
"Oh putain Ousmane, cette pute elle a des seins plus gros qu’une actrice de cul ! Je vais la démonter cette chiennasse !"
Puis en s’adressant à Nawal : " Vas-y, j’en peux plus ma belle, on va passer aux choses sérieuses."
Nabil a défait sa braguette et sort son sexe en érection. Nawal s’agenouille et commence à le lui lécher avec sa langue. Soudain, elle se met à cracher sur la moquette et dit :
- " Pouah, elle sent mauvais…"
Nabil lui agrippe les cheveux et lui met violemment son zob dans la bouche.
-" Ta gueule et suce, pétasse !"
Ce n’est pas seulement Nawal qui le suce mais Nabil qui lui met de véritables coups de bite dans la gorge. Je regarde ma femme se faire baiser la bouche par ce salaud et je suis consterné de voir ma chérie prendre du plaisir car elle se frotte la main par-dessus son jean entre ses cuisses.
Nabil râle de plaisir :
- " Oh putain, elle est bonne cette chienne ! Oh putain, je vais la défoncer ta femme !"
Nawal arrête sa fellation et lève son regard vers ce salopard. « Tu ne veux pas me prendre le cul ? J’en veux et je ne me suis jamais fait enculer. »
La garce ! Elle n’a jamais voulu que je la sodomise et pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayé. Elle a un cul magnifique, Nabil ne se fait pas prier, il lui ordonne d’enlever son jean et de se mettre à quatre pattes. Elle s’exécute. Elle descend son pantalon tout doucement afin de faire monter l’excitation du lascar. Une fois son jean retiré, ma femme se retrouve en string. Elle est terriblement bandante.
Nawal est à quatre pattes sur la moquette, le cul cambré offert à ce salaud de Nabil. Celui-ci, excité comme un bouc, se place derrière ma femme en se tenant son zob et, brutalement, l’enfonce dans l’anus encore vierge de Nawal qui pousse un cri à la fois de plaisir et de douleur !
Nabil prend son pied et s’écrie tout en gémissant comme un porc : " oh, comment elle mouille ta chienne de femme, elle est serrée du cul et elle mouille cette salope. "
Puis en s’adressant à elle : " Tu aimes te faire enfiler, pétasse ? Et si on te prenait à deux petite pute ? "
Nawal gémit de plus en plus fort. Il ne fait aucun doute qu’elle aime se faire brutaliser !
« Oh oui, défoncez-moi tous les deux ! Prenez-moi ! Faites-vous plaisir et videz vos grosses couilles dans mon cul !
Ousmane ne fait pas prier. Il se lève, défait son pantalon et sort un énorme sexe de 25 cm. Il se place devant ma femme et lui ordonne de la mettre dans sa bouche. Nawal s’exécute et le grand black lui tire sa magnifique chevelure sans aucun ménagement.
Je regarde avec de grands yeux la scène qui se passe devant moi. Pendant plus de cinq minutes, deux crapules baisent le cul et la bouche de ma femme et cette dernière prend son pied, en témoigne ses gémissements !
Nabil accélère sa sodomie, il met des coups de plus en plus violents et saccadés et, à son visage, je vois qu’il éjacule dans le cul de ma femme.
" Oh putain, c’est bon ! Je lui ai rempli son petit cul." Et en s’adressant à moi : " Tu peux passer derrière moi si tu veux maintenant. "
Au même moment, on sonne à la porte. Nabil qui remet son pantalon m’ordonne d’aller voir à l
lailatvx - le 17/10/2013 à 09h00
